En Sicile: découvrir les vins

Avec une valeur significative pour mère nature et leurs composants non cuits, Giuseppe et ses impressionnants descendants se sont avérés utiles pour les générations à sortir le concept le plus authentique de ce territoire. Ils ont utilisé leur connaissance intime de la géographie et des microclimats de la région pour planter les cépages les plus appropriés pour chaque sol et climat, et ont appliqué des améliorations, certaines audacieuses pour son temps, pour permettre aux fruits frais de prospérer avec tout le moins possible. intervention de l’être humain. En 1868, Corvo produisait 100 000 bouteilles par an, commercialisant au-delà de la Sicile aux États-Unis, en Amérique latine et en Australie moderne. De nos jours, les boissons au vin Corvo symbolisent la générosité et la douceur de la Sicile ainsi que ses perspectives de vinification. La qualité et l’engagement provenant de Corvo sont sans précédent; une tradition séculaire, l’entreprise se consacre au passage dans chaque conteneur. Corvo est vraiment un conte sicilien, une entreprise légendaire aux origines louables. Il avait été créé en 1824 par Giuseppe Alliata, prince de Villafranca, prince du Royaume romain sacré, grand d’Espagne et duc de Salaparuta, un connaisseur qui aspirait à faire un vino sensible de conception française très différent de la fabrication à proximité de ce temps. Travaillant avec des raisins de sa propre résidence à Casteldaccia, ses améliorations ont déclenché le premier lancement effectivement mis en bouteille en Sicile, Corvo Bianco. «Au cours des 35 dernières années, les vins de Sicile se sont développés», explique Roberto Magnisi, directeur de la cave de la société mère de Corvo, l’équipe Duca di Salaparuta, «transformant un simple complément en un repas quotidien avec un outil de développement culturel». jours, ce nom de marque vénéré est dirigé par les membres de la famille Reina, dont les racines locales profondes, l’instruction mondiale et la volonté d’expérimenter confirment sa variation. Ils sont sûrs que la qualité et l’authenticité du vin Corvo sont intimement liées au facteur humain, en employant des personnes proches qui connaissent chaque nuance de chaque gamme de raisin, pour travailler les vignobles. Un agronome inspecte les fruits frais à chaque condition de maturation, requiert des échantillons de chaque raisin et de la terre du jardin pour une évaluation en laboratoire et examine le feuillage pour s’assurer que les plantes assimilent les substances vitales de la terre de votre jardin. Une gestion de qualité est irréprochable: à l’occasion inhabituelle où les raisins arrivant au vin ne répondent pas aux normes les plus élevées, ils sont rejetés sans charme.

Les distilleries écossaises à travers les yeux d’Hemingway

La matinée était fraîche dans les Highlands écossais, une brume flottant sur les collines vertes comme un murmure. J’avais visité l’Écosse pour ce whisky, à la manière dont un homme vient à un endroit pour découvrir quelque chose de vrai, de réel. Les distilleries étaient dispersées dans le paysage, anciennes et fières, comme des sentinelles essayant de veiller sur les secrets de la planète terre.

Mon premier arrêt s’est fait dans une minuscule distillerie familiale, près d’un loch. L’eau qu’on y trouve est vieille comme le monde, filtrée par la tourbe et la bruyère, ce qui donne au whisky le goût de la terre elle-même. L’air était chargé d’odeurs de malt et de fumée de bois. À l’intérieur, les alambics en cuivre brillaient sous la lumière rasante, de même que les tonneaux placés en série, le whisky dormant à l’intérieur jusqu’à ce qu’il soit temps de se réveiller.

Les hommes qui travaillaient bien là avaient les mains décolorées par le whisky et la terre. Ils parlaient de leur métier avec une sorte de révérence, comme s’ils ne faisaient pas seulement une boisson, mais essayaient de maintenir vivante une tradition aussi vitale que le sang dans leurs veines. Nous avons goûté un malt particulier, âgé de douze ans, et c’était comme consommer les Highlands eux-mêmes – un peu de fumée de cigarettes, un murmure de chêne, le goût sucré de l’orge.

Dans l’après-midi, je me suis rendu dans une autre distillerie, plus grande, beaucoup plus moderne, mais tout aussi dévouée à la fabrication du whisky. J’y ai rencontré un homme qui parlait des tonneaux comme s’il s’agissait d’objets vivants, chacun conférant son propre caractère au whisky qu’il contenait. Il m’a montré les entrepôts où les tonneaux vieillissaient, une cathédrale de bois et d’esprit. L’environnement était à l’aise avec la respiration du whisky, un parfum qui parlait du temps qui passe, de la persévérance et de l’attention.

Nous y avons dégusté un whisky vieilli en fûts de sherry. Il ne ressemblait à rien de ce que j’avais jamais goûté auparavant – riche, complexe, avec des niveaux de saveur qui se déploient comme une histoire. La personne a dit que créer un bon whisky, c’était comme écrire un excellent livre – il faut du talent, en effet, mais aussi de l’intérêt et une profonde compréhension des conditions météorologiques qui entrent en jeu.

Le soir, je me suis retrouvé dans un petit bar d’un village voisin. Les murs étaient tapissés de bouteilles, chacune représentant une section différente de l’histoire du whisky écossais. Les gens qui s’y trouvaient étaient accueillants, leur plaisir facile. Nous avons partagé des verres et des histoires, le whisky étant un fil rouge qui nous tissait collectivement.

Au fur et à mesure que la nuit avançait, j’ai repensé aux distilleries que j’avais visitées et aux personnes que j’avais rencontrées. Il y avait quelque chose de classique dans cet endroit, dans la façon dont le whisky était créé. Ce n’était pas simplement une boisson, mais un témoignage de la propriété, des personnes qui avaient travaillé pendant de nombreuses années pour perfectionner leur art.

Dans l’obscurité, les collines semblaient murmurer, les étoiles se balançaient, basses et brillantes. Je pensais au whisky qui dormait dans les tonneaux, à la lenteur des saisons, à la personne qui en est affectée. Il y avait ici une beauté évidente, une sorte de réalité difficile à exprimer. C’était quelque chose à ressentir, à connaître, comme la chaleur du whisky dans le haut du corps, comme le goût résiduel de la fumée, du chêne et de l’orge.

C’est ainsi que je me suis assis là, sous le ciel écossais, et que j’ai levé ma fenêtre vers les distillateurs, vers la terre, vers le whisky qui était bien plus qu’une simple boisson. C’était un morceau de l’Écosse elle-même, folle, belle et vraie.

Le Médoc et ses Grands Châteaux

Le Médoc, région viticole emblématique située dans le nord de Bordeaux, est mondialement réputé pour ses vins d’exception. Célèbre pour ses grands châteaux et ses vignobles prestigieux, le Médoc abrite certains des vins les plus recherchés et respectés au monde. Cet article explore les grands châteaux du Médoc, en mettant en lumière leur histoire, leur terroir, et la qualité exceptionnelle de leurs vins.

Château Latour

Château Latour, Premier Grand Cru Classé en 1855, est l’un des plus renommés du Médoc. Situé à Pauillac, le château est connu pour son vignoble exceptionnel, dominé par le Cabernet Sauvignon. Les vins de Latour sont célèbres pour leur structure robuste, leur complexité aromatique, et leur potentiel de vieillissement exceptionnel, souvent décrits comme l’incarnation de la puissance et de l’élégance.

Château Lafite Rothschild

Château Lafite Rothschild, autre Premier Grand Cru Classé de Pauillac, est synonyme d’élégance et de finesse. Ce château historique, dont l’histoire remonte à plusieurs siècles, est célèbre pour ses vins raffinés et harmonieux. Le vignoble de Lafite Rothschild, dominé par le Cabernet Sauvignon, produit des vins qui allient richesse aromatique, finesse des tanins, et grande capacité de vieillissement.

Château Margaux

Château Margaux, unique Premier Grand Cru Classé de l’appellation Margaux, est réputé pour son vin élégant et complexe. Le vignoble, composé principalement de Cabernet Sauvignon, produit des vins d’une grande finesse, caractérisés par des arômes délicats de fruits rouges, de fleurs et de vanille. Les vins de Margaux sont appréciés pour leur équilibre parfait et leur texture soyeuse.

Château Mouton Rothschild

Château Mouton Rothschild, élevé au rang de Premier Grand Cru Classé en 1973, est célèbre pour son approche innovante et son esprit artistique. Situé à Pauillac, Mouton Rothschild est connu pour ses étiquettes de bouteille conçues par des artistes célèbres. Le vignoble, dominé par le Cabernet Sauvignon, produit des vins puissants et opulents, avec des notes de fruits noirs, de cèdre, et d’épices.

Château Haut-Brion

Château Haut-Brion, le seul Premier Grand Cru Classé situé hors du Médoc, dans l’appellation Pessac-Léognan, est réputé pour son histoire riche et ses vins d’exception. Haut-Brion, connu pour être le premier cru classé à adopter la vinification en barriques, produit des vins élégants et structurés, avec une palette aromatique complexe mêlant fruits, épices et notes fumées.

Château Cos d’Estournel

Château Cos d’Estournel, classé Deuxième Grand Cru dans la classification de 1855, se distingue par son architecture exotique et ses vins de grande qualité. Situé à Saint-Estèphe, le domaine est connu pour son terroir exceptionnel et son approche innovante en matière de vinification. Les vins de Cos d’Estournel, principalement à base de Cabernet Sauvignon, sont appréciés pour leur intensité, leur structure tannique et leur richesse aromatique.

L’Héritage et l’Innovation

Les grands châteaux du Médoc sont des exemples remarquables de l’harmonie entre tradition et innovation. Ces domaines prestigieux, tout en préservant un savoir-faire séculaire, n’hésitent pas à adopter des technologies modernes et des pratiques viticoles durables pour continuer à produire des vins de la plus haute qualité.

Conclusion

Le Médoc est un bastion de l’excellence viticole, et ses grands châteaux en sont les fiers représentants. Chaque château, avec son histoire, son terroir unique et son style de vin distinct, contribue à la richesse et à la diversité de l’appellation. Ces domaines illustrent parfaitement la capacité du vin bordelais à captiver et à inspirer, alliant majesté, histoire et innovation. Les grands châteaux du Médoc continuent de définir les standards de qualité dans le monde du vin, et leurs créations restent parmi les plus convoitées par les amateurs et les connaisseurs du monde entier.

chardonnay : un reflet de l’évolution viticole

Le chardonnay, l’un des cépages les plus populaires et les plus polyvalents au monde, les meilleurs vins rouge du monde a un passé fascinant et un effet important sur l’industrie du vin. Originaire de la région française de Bourgogne, ce cépage à peau verte est aujourd’hui cultivé dans les vignobles du monde entier, dans les environnements plus frais de la Champagne et de Chablis et dans les régions plus chaudes du Canada, de l’Australie et de l’Amérique du Sud.

Les origines précises du Chardonnay sont quelque peu étranges, mais on considère qu’il a été développé en France pendant des siècles. On pense qu’il est le descendant des anciens cépages Pinot et Gouais Blanc, et son étiquette est probablement basée sur le village de Chardonnay, dans le sud de la Bourgogne. Le raisin a pris de l’importance au centre du Moyen Âge, grâce aux efforts des moines cisterciens et bénédictins qui ont reconnu son potentiel et l’ont développé dans leurs vignobles.

L’une des caractéristiques déterminantes du Chardonnay est sa capacité à s’adapter à différents terroirs et à différentes techniques de vinification. Cette polyvalence permet d’obtenir une large gamme de styles de vins, des vins secs et minéraux de Chablis aux Chardonnays riches et boisés de Californie. Dans les environnements plus frais, le Chardonnay a tendance à produire des vins plus acides, avec des arômes de pomme verte, de poire et d’agrumes. Dans les régions plus chaudes, le raisin développe des arômes plus mûrs de fruits tropicaux, tels que l’ananas et la mangue, souvent avec un corps plus plein et un niveau d’acidité plus bas.

La popularité du chardonnay a grimpé en flèche dans les années 1980 et 1990, en particulier aux États-Unis, où les viticulteurs californiens ont adopté ce cépage avec enthousiasme. Le style californien du chardonnay, souvent caractérisé par un boisé prononcé et des arômes de beurre, est devenu synonyme du cépage pour de nombreux consommateurs. Ce style est obtenu grâce à des techniques telles que la fermentation en barrique, le contact prolongé avec les lies et la fermentation malolactique, qui transforme l’acide malique acidulé en acide lactique plus doux, contribuant ainsi à une texture plus crémeuse.

Néanmoins, ce style boisé et beurré a fini par susciter une réaction négative chez certains amateurs de vin, donnant naissance au mouvement ABC (Anything But Chardonnay). Cette émotion a encouragé les viticulteurs à explorer des expressions beaucoup plus sobres et nettement moins boisées du cépage, en se concentrant sur ses arômes naturels de fruits frais et sur son acidité. Aujourd’hui, on apprécie davantage la diversité des conceptions du chardonnay, qu’il s’agisse des vins non boisés et croquants des régions plus fraîches ou des exemples plus traditionnels, plus anciens et plus boisés.

On ne saurait trop insister sur le rôle du chardonnay dans la production de vins chatoyants, en particulier le champagne. C’est l’un des trois principaux cépages utilisés dans le vin, avec le pinot noir et le pinot meunier. Dans les bulles, le chardonnay contribue à l’élégance, à la finesse et au niveau d’acidité de la fusion, et c’est le seul cépage utilisé dans les champagnes Blanc de Blancs. La capacité du raisin à conserver son acidité, même sous des climats plus chauds, en fait le cépage idéal pour la production de vins mousseux dans diverses régions du monde.

Le chardonnay continue d’évoluer et de se modifier dans le monde entier. Dans le Nouveau Monde, des régions telles que Melbourne, la Nouvelle-Zélande, l’Afrique australe et l’Amérique du Sud produisent des chardonnays exceptionnels, chacun d’entre eux ayant sa propre expression du raisin. Les chardonnays australiens, par exemple, ont été acclamés pour leur équilibre entre le fruit, l’acidité et l’effet délicat du chêne, tandis que les régions plus fraîches de Nouvelle-Zélande produisent des chardonnays à l’acidité vive et au goût d’agrumes.

La culture du chardonnay reflète également des tendances plus générales en matière de viticulture et de développement durable. Les viticulteurs se concentrent de plus en plus sur des pratiques durables, telles que l’agriculture biologique et biodynamique, afin de protéger la santé de leurs vignobles ainsi que l’environnement. Ces pratiques peuvent influencer l’expression du raisin, ce qui peut conduire à des vins reflétant plus authentiquement leur terroir.

Le parcours du chardonnay, depuis ses origines en Bourgogne jusqu’à son statut actuel de superstar mondiale, est la preuve de l’adaptabilité et du charme remarquables de ce cépage. Qu’il soit apprécié comme un vin rouge vif et non boisé ou comme un concept abondant et vieilli en fût de chêne, le chardonnay ne cesse de captiver les amateurs de vin et les viticulteurs. Sa polyvalence, sa capacité à transmettre le terroir et son rôle essentiel dans la fabrication des vins mousseux garantissent que le chardonnay restera une pierre angulaire de la planète vin pour les années à venir.